mardi 29 septembre 2009
lundi 21 septembre 2009
Résumé 2
Nouvelle-France, Canada, Québec : parcours lexicographique du Grand Siècle au siècle des philosophes.
Jean Pruvost (pp. 161-198)
Douce France, cher pays de mon enfance…
Dès le commencement de la lexicographie monolingue, trois dictionnaires ont été publiés. D’abord, le Dictionnaire françois en 1680 de Richelet. Toutefois, on n’y retrouvait toujours pas de référence à l’Amérique du Nord.
Puis, le Diction(n)aire universel en 1690 de Furetière. Celui-ci mentionnait le nouveau-Monde, l’Amérique et le Canada. Dans l’article sous le mot « nouveau », on trouvait « Le Nouveau Monde est l’Amérique… . » Dans l’article du mot « Amérique », « sauvage » était introduit dans la définition : « Presque toute l’Amérique s’est trouvée peuplée de sauvages. La plus-part des sauvages sont anthropophages (cannibales). Les sauvages sont rudes, et sont velus, couverts de poils.» C’était à « colonie » que l’on retrouvait le mot « Canada » : « Les François ont envoyé des colonies en Canada. » On y trouvait aussi l’exemple suivant : « Québec, une colonie de François en l’Amérique. » Furetière a aussi fait place aux territoires de la Nouvelle-France où il citait le « fleuve » Saint-Laurent qui était défini tel un grand fleuve qui n’était pas navigable à cause des chutes qui nuisaient à la navigation.
Enfin, dans la première édition du Dictionnaire de l’Académie françoise de 1694, on faisait référence au Canada sous les entrées « capillaires de Canada », « habitation », « raquette » et « provigner ». Dans cette première édition, on y trouvait la première attestation du mot « Canada » sous l’article du mot « Capillaire » : « Les bons capillaires viennent de Montpellier, de Canada. » La capillaire est une fougère fine comme des cheveux, essentielle dans la confection des remèdes pectoraux prescrit à ceux qui prenaient le froid. On découvrait alors le Canada, comme un grand pays enneigé une partie de l’année. Dans ce même dictionnaire, à l’article consacré au castor, le lecteur du XVIIe découvrait une nouvelle référence pour l’Amérique du Nord francophone que l’on nommait « nouvelle-France. » Le « n » minuscule attire certainement l’attention du lecteur d’aujourd’hui.
Puis, c’est en 1732, dans le Dictionnaire universel françois et latin ou Dictionnaire de Trévoux qu’est apparu le mot « Québec » dans la définition « habitations ».
Perception du mot « France » et du mot « sauvage »
L’objectif de Maurice De La Porte, dans son dictionnaire d’épithètes françoises en 1571, était d’offrir aux poètes de l’époque, des qualificatifs à utiliser dans leur littérature. Dans son dictionnaire, on y retrouvait de nombreux adjectifs qui décrivaient les Français de la « douce » France de « valeureux, guerriers et généreux» pour n’en nommer que quelques uns. À l’opposé, les « sauvages » étaient plutôt qualifiés entre autres de « cruels de barbares et d’inhumains ».
La latinisation
Dans le Dictionnaire universel françois et latin de Trévoux, en 1732, les jésuites lexicographes y ont ajouté des traductions latines (ex. Iroquois. Nom de peuple Irocus, iroquius). On y trouvait aussi « Québecum », ou « Kebecum », la forme latine de Québec. Plusieurs entrées dans ce dictionnaire ont fait une plus grande place à la Nouvelle-France.
Les encyclopédies
Dès sa parution, au XVIIIe siècle, L’encyclopédie de Diderot et D’Alembert, a eu un impact international. À l’entrée lexicographique « canada ou NOUVELLE FRANCE », l’Amérique y était citée avec davantage d’informations historiques, de descriptions géographiques et climatiques. Contrairement à la définition de « sauvages » qu’en faisait Furetière dans son diction(n)aire universel où il les définissait comme des « hommes errants, sans Police » et Maurice De La Porte qui leur attribuait des épithètes tels « cruels, barbares et indomptables » pour ne nommer que ceux-là, cette image négative s’est inversée dans l’encyclopédie. Plusieurs clichés au sujet des « sauvages » sont enfin disparus. En s’intéressant davantage à la société et au climat froid de l’Amérique, les encyclopédistes ont omis de s’intéresser à une triste réalité et ils ont négligé le fait que le pays français devenait anglais en tant qu’entité politique.
Avant l’écriture des encyclopédies, les encyclopédistes se sont documentés à partir de différentes rubriques : les considérations géographiques, les noms de peuples et peuplades, les « sauvages », la nature, le climat, la religion, les traditions, les animaux, les plantes, les produits alimentaires, les produits médicaux, le commerce, notamment celui des fourrures et les transports. Ainsi, dans ces rubriques, on associait la « nouvelle France » à un sujet de questionnement que ce soit par son climat hivernal ou par les « sauvages » qui y habitaient.
Ensuite, le diction(n)aire critique de la langue française de l’abbé Féraud est paru en 1787. À ce moment-là, Féraud s’est interrogé quant à la manière d’introduire syntaxiquement le Canada en tant que lieu d’origine. Il a observé l’usage fait par les lexicographes qui employaient « les Sauvages de Canada » et optaient en faveur de la préposition « de » plutôt que « du » devant Canada. Quant à lui, Féraud, a choisi la préposition « du » lorsqu’il a mentionné « Sauvages du Canada ». Cet usage est toujours celui que nous utilisons aujourd’hui : [le] Canada. Je viens [de le] Canada = Je viens [du] Canada.
Les dictionnaires des XVIIe et XVIIIe siècles et L’encyclopédie de Diderot et D’Alembert, mettaient tous l’emphase sur des questions de climat et de géographie. C’est dans le Dictionnaire de la conversation, à l’usage des dames et des jeunes personnes, complément nécessaire de toute bonne éducation et dans le Dictionnaire de la conversation et de la lecture tous deux parus en 1841, que le discours concernant la Nouvelle-France devient politique. Dans cette première moitié du XIXe siècle, la nostalgie d’un lien de parenté s’est installée entre les francophones de l’Amérique du Nord, ces « Paysans français du Canada », et leurs cousins de la France.
Jean Pruvost (pp. 161-198)
Douce France, cher pays de mon enfance…
Dès le commencement de la lexicographie monolingue, trois dictionnaires ont été publiés. D’abord, le Dictionnaire françois en 1680 de Richelet. Toutefois, on n’y retrouvait toujours pas de référence à l’Amérique du Nord.
Puis, le Diction(n)aire universel en 1690 de Furetière. Celui-ci mentionnait le nouveau-Monde, l’Amérique et le Canada. Dans l’article sous le mot « nouveau », on trouvait « Le Nouveau Monde est l’Amérique… . » Dans l’article du mot « Amérique », « sauvage » était introduit dans la définition : « Presque toute l’Amérique s’est trouvée peuplée de sauvages. La plus-part des sauvages sont anthropophages (cannibales). Les sauvages sont rudes, et sont velus, couverts de poils.» C’était à « colonie » que l’on retrouvait le mot « Canada » : « Les François ont envoyé des colonies en Canada. » On y trouvait aussi l’exemple suivant : « Québec, une colonie de François en l’Amérique. » Furetière a aussi fait place aux territoires de la Nouvelle-France où il citait le « fleuve » Saint-Laurent qui était défini tel un grand fleuve qui n’était pas navigable à cause des chutes qui nuisaient à la navigation.
Enfin, dans la première édition du Dictionnaire de l’Académie françoise de 1694, on faisait référence au Canada sous les entrées « capillaires de Canada », « habitation », « raquette » et « provigner ». Dans cette première édition, on y trouvait la première attestation du mot « Canada » sous l’article du mot « Capillaire » : « Les bons capillaires viennent de Montpellier, de Canada. » La capillaire est une fougère fine comme des cheveux, essentielle dans la confection des remèdes pectoraux prescrit à ceux qui prenaient le froid. On découvrait alors le Canada, comme un grand pays enneigé une partie de l’année. Dans ce même dictionnaire, à l’article consacré au castor, le lecteur du XVIIe découvrait une nouvelle référence pour l’Amérique du Nord francophone que l’on nommait « nouvelle-France. » Le « n » minuscule attire certainement l’attention du lecteur d’aujourd’hui.
Puis, c’est en 1732, dans le Dictionnaire universel françois et latin ou Dictionnaire de Trévoux qu’est apparu le mot « Québec » dans la définition « habitations ».
Perception du mot « France » et du mot « sauvage »
L’objectif de Maurice De La Porte, dans son dictionnaire d’épithètes françoises en 1571, était d’offrir aux poètes de l’époque, des qualificatifs à utiliser dans leur littérature. Dans son dictionnaire, on y retrouvait de nombreux adjectifs qui décrivaient les Français de la « douce » France de « valeureux, guerriers et généreux» pour n’en nommer que quelques uns. À l’opposé, les « sauvages » étaient plutôt qualifiés entre autres de « cruels de barbares et d’inhumains ».
La latinisation
Dans le Dictionnaire universel françois et latin de Trévoux, en 1732, les jésuites lexicographes y ont ajouté des traductions latines (ex. Iroquois. Nom de peuple Irocus, iroquius). On y trouvait aussi « Québecum », ou « Kebecum », la forme latine de Québec. Plusieurs entrées dans ce dictionnaire ont fait une plus grande place à la Nouvelle-France.
Les encyclopédies
Dès sa parution, au XVIIIe siècle, L’encyclopédie de Diderot et D’Alembert, a eu un impact international. À l’entrée lexicographique « canada ou NOUVELLE FRANCE », l’Amérique y était citée avec davantage d’informations historiques, de descriptions géographiques et climatiques. Contrairement à la définition de « sauvages » qu’en faisait Furetière dans son diction(n)aire universel où il les définissait comme des « hommes errants, sans Police » et Maurice De La Porte qui leur attribuait des épithètes tels « cruels, barbares et indomptables » pour ne nommer que ceux-là, cette image négative s’est inversée dans l’encyclopédie. Plusieurs clichés au sujet des « sauvages » sont enfin disparus. En s’intéressant davantage à la société et au climat froid de l’Amérique, les encyclopédistes ont omis de s’intéresser à une triste réalité et ils ont négligé le fait que le pays français devenait anglais en tant qu’entité politique.
Avant l’écriture des encyclopédies, les encyclopédistes se sont documentés à partir de différentes rubriques : les considérations géographiques, les noms de peuples et peuplades, les « sauvages », la nature, le climat, la religion, les traditions, les animaux, les plantes, les produits alimentaires, les produits médicaux, le commerce, notamment celui des fourrures et les transports. Ainsi, dans ces rubriques, on associait la « nouvelle France » à un sujet de questionnement que ce soit par son climat hivernal ou par les « sauvages » qui y habitaient.
Ensuite, le diction(n)aire critique de la langue française de l’abbé Féraud est paru en 1787. À ce moment-là, Féraud s’est interrogé quant à la manière d’introduire syntaxiquement le Canada en tant que lieu d’origine. Il a observé l’usage fait par les lexicographes qui employaient « les Sauvages de Canada » et optaient en faveur de la préposition « de » plutôt que « du » devant Canada. Quant à lui, Féraud, a choisi la préposition « du » lorsqu’il a mentionné « Sauvages du Canada ». Cet usage est toujours celui que nous utilisons aujourd’hui : [le] Canada. Je viens [de le] Canada = Je viens [du] Canada.
Les dictionnaires des XVIIe et XVIIIe siècles et L’encyclopédie de Diderot et D’Alembert, mettaient tous l’emphase sur des questions de climat et de géographie. C’est dans le Dictionnaire de la conversation, à l’usage des dames et des jeunes personnes, complément nécessaire de toute bonne éducation et dans le Dictionnaire de la conversation et de la lecture tous deux parus en 1841, que le discours concernant la Nouvelle-France devient politique. Dans cette première moitié du XIXe siècle, la nostalgie d’un lien de parenté s’est installée entre les francophones de l’Amérique du Nord, ces « Paysans français du Canada », et leurs cousins de la France.
lundi 14 septembre 2009
Résumé de lecture 1
Entre dépendance et affirmation : le parcours historique des lexicographes québécois
Claude Poirier
Claude Poirier
Divisé en deux parties, ce texte porte d’abord sur l’histoire linguistique des Québécois avec les Français selon les époques. Ensuite, l’auteur traite le sujet du cheminement des lexicographes au Québec. Cet article montre donc les liens entre la façon dont les Québécois ont interprété leur rapport avec la France et les productions lexicographiques qui en résultent.
D’abord, Claude Poirier fait un retour historique. De la période pré-coloniale (avant 1608) qui établie les origines du français nord-américain jusqu’à à la période de la Nouvelle-France (1608-1759). À ce moment-là, on pouvait déjà penser qu’il existait une manière « française » de parler et une manière « canadienne » (Claude Poirier, p.19).
De 1760 à 1840, la façon canadienne de penser et de parler s’impose. Puis, dès les premières années du XIXe siècle, on commence à s’intéresser à la question de la norme. Il est question entre autre du Manuel de Maguire qui a amené un sentiment de dévalorisation linguistique.
Ainsi, à partir des années 1860, les Canadiens-français se sentaient inférieurs aux Français. Les puristes cherchaient à influencer le grand public par plusieurs moyens : dans des manuels de corrections, des chroniques de langage et dans des émissions de radio. On y faisait passer le bon usage, celui des Parisiens instruits.
Claude Poirier nomme les auteurs Victor Lévy-Beaulieu, Hélène Pelletier-Baillargeon et d’autres à titre d’écrivains qui ont pratiqué le joual littéraire afin de manifester contre ce sentiment d’infériorité. Puis, la confiance des Canadiens-français revient peu à peu. C’est alors en 1962 que l’appellation « Québécois » est attestée.
Dans la deuxième partie, l’auteur fait place à la conscience identitaire et lexicographique. Un tableau (p.39) illustre clairement le classement d’auteurs dans trois approches différentes. Ces auteurs partagent un point commun, celui d’avoir écrit des ouvrages reflétant l’état d’esprit de la société dans laquelle ils vivaient où il y avait la nécessité d’une référence à la France comme norme du français canadien.
Malgré l’approche corrective de l’époque, le projet du Glossaire du parler français au Canada au début du XXe siècle a donné la place à la description. Claude Poirier mentionne aussi le Dictionnaire général de la langue française au Canada de Louis-Alexandre Bélisle. Ce dernier avait déclaré dans son introduction qu’« il faut cesser de croire, de dire ou de laisser entendre que tout ce qui est de nous est mauvais.» Cet ouvrage de Bélisle consistait à joindre description et prescription dans le même manuel.
Depuis, des dictionnaires présentant un point de vue nuancé en lexicographie ont vu le jour ces dernières années :
- Le dictionnaire des difficultés de la langue française au Canada de Gérard Dagenais en 1967.
- Le dictionnaire des particularités de l’usage de Jean Darbelnet en 1986.
- Le Multidictionnaire de Marie-Éva de Villers en 1988.
- Le dictionnaire de la langue québécoise de Léandre Bergeron en 1980.
- Le dictionnaire du français Plus publié en 1988. La controverse autour de ce dictionnaire est clairement exprimée par l’auteur. Il est intéressant de voir l’ampleur que cette publication a prise.
Suite au DFP, deux dictionnaires de la même veine, celle d’une nouvelle lexicographie québécoise ont été publiés : le Dictionnaire d’aujourd’hui publié en 1992 et le Dictionnaire québécois-français de Lionel Meney en 1999.
- Le dictionnaire des difficultés de la langue française au Canada de Gérard Dagenais en 1967.
- Le dictionnaire des particularités de l’usage de Jean Darbelnet en 1986.
- Le Multidictionnaire de Marie-Éva de Villers en 1988.
- Le dictionnaire de la langue québécoise de Léandre Bergeron en 1980.
- Le dictionnaire du français Plus publié en 1988. La controverse autour de ce dictionnaire est clairement exprimée par l’auteur. Il est intéressant de voir l’ampleur que cette publication a prise.
Suite au DFP, deux dictionnaires de la même veine, celle d’une nouvelle lexicographie québécoise ont été publiés : le Dictionnaire d’aujourd’hui publié en 1992 et le Dictionnaire québécois-français de Lionel Meney en 1999.
Il y a un grand besoin de dictionnaires français au Québec, mais la tâche des lexicographes québécois n’est pas facile. Ils doivent pouvoir relever le défi d’écrire des dictionnaires sans être correctifs et sans porter de jugement sur la question des anglicismes. On voudrait que les dictionnaires québécois soient le reflet d’une certaine autonomie linguistique de la société québécoise tout en gardant contact avec la France.
Claude Poirier termine son article en parlant du travail fait par le Trésor de la langue française au Québec. Cette équipe qui continue à faire la lumière sur l’origine du lexique québécois et à dresser un portrait de notre histoire linguistique afin que nous puissions, un jour, atteindre nos objectifs, c'est-à-dire de déterminer nos standards linguistiques.
mardi 8 septembre 2009
Bienvenue dans mon blog: présentation
Bonjour, je m'appelle France Baril.
Je vous présente mon Rottweiler, Bouddha.
De 1998 à 2001, j'ai fait mon bac en linguistique à l'UQAC. Après quelques années d'enseignement à temps plein, je fais un retour aux études et je commence cet automne ma maîtrise en linguistique. Depuis 8 ans, j'enseigne le français langue seconde aux fonctionnaires et aux militaires. J'ai enseigné à l'école de langue de la base militaire de Borden en Ontario, à la base militiaire de Shearwater, en Nouvelle-Écosse et à la base militaire de Bagotville au Saguenay. En Nouvelle-Écosse, j'ai aussi enseigné à l'université Sainte-Anne, à bord des frégates canadiennes et au contre-amiral de la marine des Forces canadiennes ainsi qu'à Radio-Canada à Halifax.
Tout au long de mes années d'enseignement, j'ai dû explorer plusieurs facettes de l'enseignement du français langue seconde, devant répondre à des besoins spécifiques de l'usage du français dans différents contextes et j'ai adoré mon expérience!
De retour au Québec depuis l'été dernier, j'en profite pour poursuivre mes études à un niveau supérieur et élargir mes connaissances de la langue française.
Bonne session à tous!
Je vous présente mon Rottweiler, Bouddha.
De 1998 à 2001, j'ai fait mon bac en linguistique à l'UQAC. Après quelques années d'enseignement à temps plein, je fais un retour aux études et je commence cet automne ma maîtrise en linguistique. Depuis 8 ans, j'enseigne le français langue seconde aux fonctionnaires et aux militaires. J'ai enseigné à l'école de langue de la base militaire de Borden en Ontario, à la base militiaire de Shearwater, en Nouvelle-Écosse et à la base militaire de Bagotville au Saguenay. En Nouvelle-Écosse, j'ai aussi enseigné à l'université Sainte-Anne, à bord des frégates canadiennes et au contre-amiral de la marine des Forces canadiennes ainsi qu'à Radio-Canada à Halifax.
Tout au long de mes années d'enseignement, j'ai dû explorer plusieurs facettes de l'enseignement du français langue seconde, devant répondre à des besoins spécifiques de l'usage du français dans différents contextes et j'ai adoré mon expérience!
De retour au Québec depuis l'été dernier, j'en profite pour poursuivre mes études à un niveau supérieur et élargir mes connaissances de la langue française.
Bonne session à tous!
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